Quinze ans et déjà accro aux stéroïdes : l’inquiétante montée du dopage chez les ados
« C’est un phénomène complexe et multifactoriel », confirme Fabrice Lorente, vice-président de l’université de Perpignan, qui a lancé une vaste étude sur le sujet en Région Paca. Selon ses résultats, 6 % des garçons de 14 à 18 ans disent avoir déjà pris de la créatine, un produit censé favoriser la musculature et que l’on trouve en pharmacie. « La performance en tant que telle a une importance, mais on s’aperçoit que les ados cherchent aussi à changer leur apparence, notamment avec les stéroïdes anabolisants qui augmentent justement la masse musculaire. »« Gamins en mal-être »Des enfants ou des adolescents mal dans leur peau, c’est également le constat de Patrick Laure, auteur de nombreuses études sur le sujet pour la direction régionale de la jeunesse et des sports de Lorraine.
- Il a été suggéré qu’un traitement par 5-ASA oral était associé à un moindre risque d’extension de la rectite vers l’amont (par rapport à un traitement par voie rectale) [25].
- Cercle familial, mais aussi coéquipiers, entraîneur ou médecin du sport sont ainsi les principaux fournisseurs de ces produits.
- Cela fait d’autant plus froid dans le dos qu’on croyait ces pratiques réservées aux seuls sportifs de haut niveau.Qui sont ces enfants ?
- L’analyse des salives a permis d’identifier 6 stéroïdes et 2 métabolites dont les concentrations étaient différentes entre cochettes réceptives et non réceptives à l’effet mâle 26 ou 11 jours avant l’introduction du mâle.
La dose optimale pour la prévention du risque de cancer colorectal n’est à ce jour pas déterminée avec précision. Il faut noter que certaines études ont montré que le risque de cancer colorectal ou de dysplasie diminuait lorsque la dose totale de 5-ASA augmentait [40], et que des doses supérieures à 1,2 g/jour semblaient conférer la meilleure réduction du risque (respectivement, 91 % et 72 %). Des études mécanistiques sont venues conforter l’observation épidémiologique de réduction du risque de cancer sous 5-ASA. Il exerce une action anti-inflammatoire locale directe topique sur les muqueuses intestinales et coliques et des effets pro-apoptotiques et anti-prolifératifs [7-1] qui pourraient expliquer son effet dans la prévention du cancer colorectal.
hormones stéroïdes et non-stéroïdes
La Salazopyrine® a plus d’effets indésirables car elle contient une molécule de sulfamide associée au 5-ASA. Certains sont liés à la dose (perte de l’appétit, nausées, vomissements, céphalées, malaise général), d’autres (allergiques) ne le sont pas (éruptions cutanées, fièvre, hépatite, pneumopathie, anémie, cytopénies sanguines, réduction du nombre des spermatozoïdes). La surveillance de ce traitement doit aussi porter sur la NFS (hebdomadaire pendant un mois puis trimestrielle). Aucun traitement curatif de la rectocolite hémorragique (RCH) ni de la maladie de Crohn (MC) n’a été découvert qu’il soit médical ou chirurgical ; les traitements actuels visent à améliorer les symptômes et lésions et réduire le risque de rechutes et complications incluant celui de néoplasies.
- Certains sont liés à la dose (perte de l’appétit, nausées, vomissements, céphalées, malaise général), d’autres (allergiques) ne le sont pas (éruptions cutanées, fièvre, hépatite, pneumopathie, anémie, cytopénies sanguines, réduction du nombre des spermatozoïdes).
- »« Gamins en mal-être »Des enfants ou des adolescents mal dans leur peau, c’est également le constat de Patrick Laure, auteur de nombreuses études sur le sujet pour la direction régionale de la jeunesse et des sports de Lorraine.
- Selon ses résultats, 6 % des garçons de 14 à 18 ans disent avoir déjà pris de la créatine, un produit censé favoriser la musculature et que l’on trouve en pharmacie.
- L’utilisation de la salive pour le suivi de biomarqueurs en élevage nécessiterait par conséquent le développement de méthodes de dosage simples, peu coûteuses, et plus sensibles que les méthodes actuellement disponibles dans le commerce.
Elles sont moins fertiles et moins prolifiques, les âges et poids des porcelets au sevrage sont plus hétérogènes. FOCUS – Jeudi 18 mai 2023, quarante jours après Pâques, les chrétiens célèbrent l’Ascension. À l’occasion de ce jour férié en France, Le Figaro s’interroge sur l’origine de cette fête chrétienne. Un «cookie» est une suite d’informations, généralement de petite taille et identifié par un nom, qui peut être transmis à votre navigateur par un site web sur lequel vous vous connectez.
Place des 5-ASA dans le traitement des maladies inflammatoires cryptogénétiques de l’intestin
Son étude, réalisée pendant quatre ans auprès de collégiens vosgiens de 11 ans, révèle que 1,2 % de ces enfants ont utilisé des substances ou médicaments interdits par l’Agence mondiale antidopage lors de compétitions sportives. Un chiffre qui grimpe à 3 % à la fin de la période d’observation, alors que les enfants sont devenus des adolescents de 15 ans. Cela fait d’autant plus froid dans le dos qu’on croyait ces pratiques réservées aux seuls sportifs de haut niveau.Qui sont ces enfants ? Comment se les procurent-ils et quels sont les dangers auxquels ils s’exposent ?
Connaître la place du 5-ASA dans le traitement de la maladie de Crohn
Si un malade présente une poussée de RCH distale alors qu’il recevait déjà un 5-ASA, la posologie de ce dernier doit être augmentée jusqu’à un maximumde 4g/j per os associé à 1 g/j sous forme rectale. En cas d’échec au traitement de première ligne et en absence d’aggravation ou d’extension de la RCH, l’association de 5-ASA local avec stéroïde local ou l’association de 5-ASA oral (au moins 2 g/j et au maximum 4 g/j) au 5-ASA local sont deux options qui peuvent être plus efficaces [4]. La supériorité de ces associations a été montrée dans des essais comparatifs par rapport à la monothérapie [23], aussi sont-elles recommandées d’emblée par nos collègues britanniques [24]. En cas d’échec après 2 à 3 mois de traitement combiné bien conduit, la RCH distale est dite réfractaire ou rebelle.
L’analyse des salives a permis d’identifier 6 stéroïdes et 2 métabolites dont les concentrations étaient différentes entre cochettes réceptives et non réceptives à l’effet mâle 26 ou 11 jours avant l’introduction du mâle. Ces biomarqueurs pourraient permettre le repérage des femelles à exposer au verrat. Toutefois, leur utilisation en élevage reste difficile car les concentrations salivaires et les différences entre cochettes réceptives ou non sont faibles.
La prévention de la rechute de la RCH gauche peut utiliser le traitement oral (voir plus loin). Dans plusieurs études, il a été observé une légère augmentation des 6-TGN et de la fréquence des leucopénies lors de l’association du 5-ASAet l’azathioprine [17-20]. Une interaction semble donc exister mais son mécanisme d’action n’est pas élucidé. Ceci ne change pas les recommandations de faire régulièrement une numération de la formule sanguine au cours du suivi des traitements par analogues des purines afin, le cas échéant, d’ajuster la posologie.
L’indication d’un traitement au long cours dépend de la fréquence des poussées, de l’intensité des symptômes, de la réponse au traitement de première intention et de la demande du malade. Il a été suggéré qu’un traitement par 5-ASA oral était associé à un moindre risque pettransport d’extension de la rectite vers l’amont (par rapport à un traitement par voie rectale) [25]. L’efficacité du traitement préventif de rechute par un 5-ASAoral est certaine mais n’a pas été bien évaluée sur la population spécifique des sujets atteints de rectite isolée.
ALTERPORC Alternatives à l’utilisation des hormones en élevage porcin
La recommandation est de ce fait, basée sur la méta-analyse d’études de cohorte et cas témoins [40]. Au total, à ce jour, les 3 études de cohorte et 6 études cas-témoin ont inclus 334 cas de cancer colorectal et 140 cas de dysplasie pour un total de patients atteints de RCH. Leur méta-analyse a montré que le traitement par 5-ASA était associé à une réduction du risque de cancer colorectal d’environ 50 %.
L’efficacité du traitement par 5-ASA local a, elle, été démontrée dans plusieurs essais randomisés portant spécifiquement sur des patients atteints de rectite. La posologie minimale efficace des suppositoires semble de 500 mg/j ou 1 g 3 fois par semaine [4,26,27]. L’échec de cette posologie doit conduire à proposer une administration quotidienne d’un gramme [27].